«Je me suis pris au jeu, il y avait plein de choses à y faire !»
Après avoir repris Coddeville à Méteren, Philippe Desmis croise la route de vendeurs d’Inorbat. De «conseiller-pédagogue» en reprise de société, il devient ferme repreneur, car Inorbat recèle bien des potentialités. Après neuf mois de procédure, Inorbat est déjà sur de nouveaux rails.
Une devanture totalement redessinée mi-août. La Gazette. Quelles étaient vos activités entrepreneuriales avant la reprise ? Philippe Desmis. Ainsi que La Gazette l’a relaté en janvier 2013, je viens de la sphère financière en expertise comptable, contrôle de gestion, audit et commissariat aux comptes, et de l’animation de services administratifs et logistiques dans des missions de projets à mene...