Avec sa rétine artificielle, Axorus commence à y voir plus clair

La société lilloise Axorus a développé des prototypes de rétines artificielles. Il faut désormais les tester. Un bel espoir pour les malades atteints de dégénérescence maculaire liée à l’âge.

Par Benoit Dequevauviller
02 Octobre 2020

L'équipe Axorus (de g. à dr.) : Arnaud Facon (ingénieur électronicien), Jean-Damien Louise (CEO-business), Hélène Moulet (Responsable ingénierie), Clémence Cossec (Directrice technique) et Julien Voillot (ingénieur matériaux). (© Aletheia Press / B.D.)

Tout le monde a entendu parler de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), cette maladie de la rétine provoquée par une dégénérescence progressive de la macula, partie centrale de la rétine, et qui provoque un affaiblissement important des capacités visuelles. Axorus, une start-up créée en 2018 et basée sur le site d’Eurasanté à Lille, travaille depuis deux ans sur cette maladie ext...

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