Bureaux : le marché métropolitain se tient
Faute de preneurs pour des surfaces supérieures à 1 000 m2, ce sont les «petits» utilisateurs qui animent le marché métropolitain des bureaux. Preuve de l’attentisme des uns et des besoins des autres. Si les premiers, grands groupes et administrations, concrétisent leurs projets, l’année 2012 aura fait mieux que résister à la crise.
Les trimestres se suivent et ne se ressemblent guère dans l’immobilier de bureau. Si le premier trimestre 2012 affichait un niveau de commercialisation dynamique à 33 369 m2 (supérieur de 23% à la moyenne des cinq dernières années), et le deuxième, à l’inverse, une timidité teintée d’un tonus affaibli à 23 624 m2, le troisième trimestre avec 29 089 m2 traduit une reprise de l’activité à + 27% en...