Wax Nation remet le vinyle au goût du jour
Après une première vie professionnelle dans le domaine du portuaire, Thomas Poidevin a remis le cap sur ses premières amours pour devenir disquaire. A priori à contre-courant de la tendance, à l’ère du tout numérique. A priori seulement.
Depuis qu’il a 14 ans, Thomas Podevin collectionne les vinyles, à commencer par ceux de ses parents. Son truc : trouver les bons mixes entre les différents morceaux. Il commence même en association avec la musique électro à la fin des années 1990, mais, sachant «qu’on a beaucoup de mal à en vivre», il se lance dans des études de management portuaire. Sa licence en poche, il décroche un poste qu’il...