Les transports investissent pour oublier la crise
La fréquentation des transports continue à souffrir de la crise du covid. Les acteurs, publics et privés, déploient leurs arguments et, surtout, promettent des investissements. Mais ils sont confrontés à une pénurie de conducteurs de bus.
«Moins de bouchons, pas de pollution, plus d’assurance, fini le plein d’essence, adieu les radars, du temps pour un polar… Qu’est-ce que vous voulez de plus pour prendre le bus ?». Cette accumulation d’arguments s’affiche en blanc et noir sur fond rose, sur un quai de la gare de Bordeaux, ainsi que dans les arrêts de bus et de tram d’une centaine de villes. Autrefois timorés, se contentant de vant...